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ANALYSE – La série de succès tricolore ne doit pas masquer des points d’amélioration impératifs pour briguer le titre mondial dans dix mois.
Envoyé spécial à Marseille
Et de douze. Face aux Springboks, le XV de France a amélioré son record. Douze victoires d’affilée. Et, désormais, toutes les nations majeures à son tableau de chasse. Des All Blacks aux champions du monde sud-africains, de l’Angleterre à l’Irlande. Consolidant sa deuxième place (derrière le XV du Trèfle) au classement World Rugby. Au passage, les Bleus ont mis fin à une disette de treize ans et sept défaites face à l’Afrique du Sud. À dix mois du coup d’envoi de «leur» Coupe du monde (du 8 septembre au 28 octobre 2023), les voyants sont donc au vert pour Fabien Galthié et ses hommes.
Cela fait-il du XV de France le grand favori pour le sacre planétaire? Ce serait aller un peu vite en besogne. Et la meilleure façon de courir aux devants d’une terrible désillusion. Le sélectionneur en est conscient. Après les félicitations d’usage, et justifiées, envers la force de caractère de sa troupe qui «refuse la défaite», il s’est employé à ramener tout le monde sur terre…
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squonk
le
Exact pour les mauls même si ce fut mieux que contre l’Australie. Quant aux trois quarts, s’ils n’ont pas eu de ballons ces deux derniers matchs, c’est que la charnière, d’ordinaire si inspirée (en tout cas Dupont), a été quasi inexistante. N’Tamack qui regarde un avant sud-af marquer les mains sur les hanches, c’est une image presque effrayante à ce niveau.
Roland le preux
le
Dommage que la photo d’une touche soit accompagnée d’une légende évoquant les ballons portés. Ceux-ci suivent souvent celle-là, mais un peu de précision ne nuit pas.
Louis Soulet
le
Oui, rendre le ballon aux adversaires en espérant qu’ils commettent une faute, un en-avant, un tir dévissé, ça paraît un peu primaire…c’est un peu comme si le staff n’avait pas confiance dans les trois-quarts…
Et grosse faiblesse sur les mauls et en mêlée avec un huit qui n’est pas dominateur, loin s’en faut.
Y’a du pain sur la planche!
Le capitaine du XV de France a raconté son expulsion, la douleur de suivre ses équipiers de loin lors de la victoire arrachée à l’Afrique du Sud et sa peine de manquer le dernier test face au Japon, dimanche prochain à Toulouse.
Sur Twitter, Rassie Erasmus, directeur du rugby sud-africain et ancien sélectionneur des Springboks, ne cache qu’à moitié son désamour pour l’arbitre du soir.
Après la victoire des Bleus sur les Springboks (30-26), retrouvez ce qui a retenu l’attention de nos envoyés spéciaux à Marseille.
XV de France: ces Bleus ont encore des progrès à faire
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