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Grenoble et son agglomération
mar. 31/01/2023
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Bernard Laporte, condamné en décembre 2022 à deux ans de prison avec sursis et 75 000 euros d’amende, pour corruption passive, trafic d’influence, prise illégale d’intérêts, recel d’abus de biens sociaux et abus de biens sociaux, n’est plus le président de la Fédération française de rugby, poste qu’il occupait depuis 2016. L’ancien sélectionneur des Bleus a, en effet, présenté sa démission ce vendredi 27 janvier, quelques heures après avoir été désavoué par les clubs amateurs lors d’un référendum. Ces derniers ont rejeté la proposition d’installer Patrick Buisson, un proche de Bernard Laporte, au poste de président délégué de la FFR. Des présidents de clubs vauclusiens et gardois évoquent cette situation de crise… à sept mois de la Coupe du monde.
➤ Gérard Bouche (président de l’ASBC) : « Je trouve étonnant que Bernard Laporte soit placé en garde à vue pour une autre affaire, alors que les clubs sont en train de voter pour ou contre la désignation de Patrick Buisson.
Tout est politique. Ça sent le règlement de comptes. Maintenant, le non au référendum ne peut que diviser et éclabousser l’équipe de France à 7 mois du Mondial. Qu’est-ce qu’on va faire maintenant ? Qui va se présenter ? C’est très précipité, ça va être la cacophonie. Sportivement, je trouve que c’est dommage. »
➤ Alain Sanciaume (président des Angles) : « Dans l’intérêt général du rugby, pro ou amateur, pour qu’il retrouve sérénité et redore son image, il faut des élections au plus vite. À quelques jours…
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