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L’équipe de France a réalisé une prestation de haut niveau pour dominer le Danemark ce samedi à Doha, et se qualifier pour les huitièmes de finale. Kylian Mbappé, double buteur, a été décisif tandis qu’Antoine Griezmann a rayonné dans le cœur du jeu. Dayot Upamecano s’est, lui aussi, mis au niveau. Ousmane Dembélé n’a pas dépareillé, au contraire de Jules Koundé, peu à l’aise comme latéral droit.
Après une très belle performance contre l’Australie, Antoine Griezmann a réalisé un nouveau match référence ce samedi, face au Danemark. Photo Sipa/Nigel KEENE
Kylian Mbappé n’a pas tout bien fait, notamment en première période, où ses passes mollassonnes ont pu faire tiquer. Il rate aussi sa frappe alors que Dembélé lui avait servi le caviar (30e). Mais il ne lui en faut pas beaucoup non plus pour créer le danger.
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Son accélération en première période avait été un premier avertissement (20e). En seconde, plus percutant, il a pris les choses en main. Son une-deux avec Hernandez aboutit à l’ouverture du score. Et c’est encore lui qui jaillit au deuxième poteau pour marquer de la cuisse sur un centre de Griezmann (86e). C’est ce qui s’appelle prendre ses responsabilités.
Comme le disait Youssouf Fofana, « on ne sait jamais de quel côté il va aller ». Ousmane Dembélé avait des jambes et il s’en est servi pour provoquer et dribbler sur son aile droite. Un vrai poison pour la défense danoise qui l’a rarement contenu. Altruiste, il a enchaîné les centres, dont un pour la tête de Rabiot (22e). Sa passe en retrait pour Mbappé méritait une meilleure conclusion (40e). Un gros travail dans le repli défensif pour aider Jules Koundé face à Maehle. Une seconde période plus neutre.
La différence était saisissante avec sa prestation de Copenhague, le 25 septembre dernier, où il s’était noyé face aux vagues danoises. Serein dans sa relance, Dayot Upamecano s’est montré souverain dans les duels qu’il a souvent remportés en anticipant. Il n’a pas été bougé par Cornelius. Sa lecture du jeu a été très utile pour couvrir les montées de Theo Hernandez. Seule ombre au tableau, et pas des moindres, il est battu de la tête par Andersen au premier poteau lors de l’égalisation danoise sur corner (68e). Mais il n’est pas le seul fautif sur cette action.
Quel bonheur de le voir jouer. Antoine Griezmann a été rayonnant. Ses orientations de jeu, souvent côté opposé, ont été un délice. Dans ce rôle de meneur, son intelligence fait mouche. C’est lui qui lance Mbappé, obligeant Christensen à un plaquage de rugby (20e). Ce n’est que partie remise puisqu’il a trouvé le Bondynois sur le deuxième but français (86e). Il aurait aussi pu marquer sur une magnifique ouverture de Tchouameni (60e). Et comme il conserve toujours la même générosité, il a défendu comme un forcené. Un match de très haut niveau.
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Dès les premières minutes, on l’a senti emprunté. Jules Koundé n’a jamais caché qu’il n’affectionne pas évoluer comme latéral droit. Ses trois précédentes sorties dans cette configuration en équipe de France n’avaient pas été de franches réussites. D’un point de vue strictement défensif, il n’a pas commis d’impair, mais avec le ballon dans les pieds, c’était autre chose. Il a souvent cherché Dembélé en première intention, ce qui avait été reproché à son concurrent Benjamin Pavard. Mais ses dédoublements n’étaient pas assez tranchants, comme sur cette action qui aboutit à une semelle sur Nelsson (41e) pour laquelle il a été averti. Une bonne frappe croisée néanmoins (30e) et une tête à côté (81e).

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