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La Nouvelle-Zélande affronte l’Argentine ce samedi dans le Championship.
OLJ / le 24 août 2022 à 00h00
Leur sélectionneur Ian Foster a été conforté à son poste après avoir mis un terme à une série noire de défaites consécutives, chose rare, mais les All Blacks ont encore du pain sur la planche à un peu plus d’un an de la Coupe du monde de rugby en France. Siphiwe Sibeko/Reuters
La Nouvelle-Zélande en plein doute : si le sélectionneur Ian Foster a été conforté à son poste après avoir mis un terme à une série noire rare, les All Blacks, qui affrontent l’Argentine samedi prochain dans le Rugby Championship, ont encore du pain sur la planche à un peu plus d’un an de la Coupe du monde de rugby en France (8 septembre-28 octobre 2023).
Montrer un visage uni
Sept matches, deux victoires. Depuis le revers en Irlande (29-20), lors des tests de novembre 2021, le bateau des All Blacks tangue. Tour à tour, la France (40-25), l’Irlande (23-12 et 32-22, à chaque fois en Nouvelle-Zélande) puis l’Afrique du Sud (26-10) ont dominé les hommes en noir.
Une série rare, dont trois défaites de rang, qui a failli coûter sa place à Ian Foster. Les dernières semaines ont d’ailleurs été le théâtre de divisions autour du maintien – ou pas – du très critiqué sélectionneur des All Blacks. Foster a sauvé sa peau quand ses troupes ont réagi, avec la manière, chez les champions du monde (35-23).
Malgré le soutien de ses joueurs, Ian Foster reste sur la sellette, d’autant que Mark Robinson, le patron de New Zealand Rugby (la Fédération néo-zélandaise), a mis plusieurs jours à le conforter. « Nous avons l’impression que c’est un nouveau départ pour l’équipe », a-t-il espéré, annonçant que le sélectionneur était maintenu jusqu’au Mondial. Doubles tenants du titre en Rugby Championship, les All Blacks ont toutefois intérêt à se réveiller.
Regagner le cœur des fans
Réaliser de bonnes performances et enchaîner les victoires : voilà la seule recette avec laquelle le sélectionneur peut faire taire ses détracteurs après les deux défaites consécutives, historiques, à domicile contre l’Irlande en juillet dernier.
Les matches à venir, avec deux réceptions de l’Argentine puis deux rencontres face à une Australie en petite forme, offrent à Ian Foster la chance de prouver que le choix de le garder était le bon. Mais la moindre défaite pourrait rendre sa position intenable face à des supporteurs habitués à gagner.
Renforcer la première ligne
Face aux puissants Sud-Africains, portés par l’ogre Frans Malherbe, le pack néo-zélandais a tenu le choc. Véritable retour à son niveau ou sursaut d’orgueil ?
Les défaites lors de la série de tests contre l’Irlande ont démontré que les All Blacks avaient besoin d’injecter du sang neuf en première ligne avant le Mondial. Le pilier Fletcher Newell, étoile montante, a réalisé ses débuts sous le maillot à la fougère lors du second test face à l’Afrique du Sud la semaine dernière et n’a pas démérité.
Newell est un des meilleurs piliers du pays en mêlée fermée et les All Blacks doivent s’assurer que le joueur des Crusaders, comme le prometteur pilier des Highlanders Ethan de Groot, puisse arriver en France en ayant accumulé assez d’expérience internationale.
L’ombre de Schmidt et Robertson
Alors que la tête d’Ian Foster a un temps été placée sur le billot, deux noms sont revenus avec insistance : ceux de Joe Schmidt et de Scott Robertson.
Joe Schmidt, ancien sélectionneur de l’Irlande, également passé par Clermont et le Leinster, a été promu entraîneur de l’attaque des All Blacks et viendra apporter un vent nouveau dans les rangs néo-zélandais.
Considéré comme l’un des meilleurs techniciens du monde à l’heure actuelle, Scott Robertson, lui, devra encore patienter avant de s’installer sur le banc des triples champions du monde. Si le poste lui semble promis, l’ancien troisième ligne, ex-joueur de Perpignan (2003-2006), peut continuer à danser sur le ventre du Super Rugby avec ses Crusaders, sacrés quatre fois de rang.
Ryland JAMES/AFP
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