Le 27 octobre prochain, ASO dévoilera le parcours du Tour de France 2023. Une annonce orchestrée à Paris, où le patron du Tour, Christian Prudhomme, invite les heureux élus, représentants des villes étape, à monter sur la scène du Palais des congrès. Il y a des chances pour que le maire de Mont-de-Marsan, Charles Dayot, soit présent, si l’on en croit les réservations dans les hôtels montois les 6 et…
Le 27 octobre prochain, ASO dévoilera le parcours du Tour de France 2023. Une annonce orchestrée à Paris, où le patron du Tour, Christian Prudhomme, invite les heureux élus, représentants des villes étape, à monter sur la scène du Palais des congrès. Il y a des chances pour que le maire de Mont-de-Marsan, Charles Dayot, soit présent, si l’on en croit les réservations dans les hôtels montois les 6 et 7 juillet 2023. La ville est plus que candidate mais rien ne filtre du côté du bureau de l’édile. D’autant que Bordeaux est d’ores et déjà sûre d’accueillir la Grande Boucle le 7 juillet. Gageons que si la cité du Moun est choisie, France Télévisions ne coupe pas l’image du peloton à Mont-de-Marsan par une page de publicité comme elle a su si bien le faire en 2021.
Le Tour de France sera-t-il le grand réconciliateur de Dax et de Mont-de-Marsan ? Les deux agglos semblent avoir du mal à jouer en équipe : on le voit en matière de clubs de rugby pro, en politique culturelle, pour les ferias et même à la santé, où les deux hôpitaux jouent solo. La coopération ne semble pas du tout à l’ordre du jour, alors que les deux maires sont du même bord politique. Un beau contre-la-montre le 6 juillet 2023 entre Dax et Mont-de-Marsan pourrait-il les relier dans une même communication ? À moins que Dax soit finalement la seule gagnante pour un départ le 4 juillet ? Réponse le 27 octobre.
Un nouveau directeur de la communication a été nommé le 1^er août 2022 à Mont-de-Marsan en la personne d’Aurélien Sourine. Il passe donc du statut de personnel de cabinet à contractuel pour la collectivité. Il assurait déjà l’intérim au service communication depuis le départ de François Loustaunau. Passe encore. On a bien vu, à Pau, une élue de François Bayrou devenir directrice de la communication de la Ville et donc employée de la collectivité pour laquelle elle avait été élue, en l’espace de quelques mois. Ce qui questionne ici, c’est la façon dont l’information n’a pas été communiquée par le service communication lui-même… Pour sa défense, un grand chantier est en cours, nous vous en avons déjà parlé ici. Après le diagnostic du cabinet Page Publique, viendra la phase opérationnelle avec la modernisation de l’image et des outils de communication. Alors, promis, on communiquera mieux dans la cité du Moun ?
Décidément, les élus d’Ondres semblent faire partie des fidèles lecteurs de « Sud Ouest ». En fonction du sujet traité dans cette commune du Seignanx, et de leur part de responsabilité dedans, leurs commentaires peuvent varier du tout au tout. Lors du Conseil municipal de ce jeudi 6 octobre, l’opposition de Vivre Ondres a ainsi qualifié de « très à charge envers la majorité précédente » le dossier concernant la condamnation de la commune – alors géré par Éric Guilloteau – pour spéculation foncière. Ils avaient en revanche savouré et abondamment relayé l’article dédié aux démêlés entre l’exploitant du camping Blue Océan et la municipalité d’Éva Belin. Pour cette dernière, il semblerait que cela soit l’inverse… Comme quoi, qu’on soit dans la majorité ou dans l’opposition, on peut avoir deux lectures différentes du même dossier.
Des écrans géants pour diffuser les matchs de la prochaine Coupe du monde de football au Qatar ? À Marseille, peut-être, dans le cas d’une finale jouée par l’équipe de France. Mais à Tarnos, ça sera non. En bon communiste, Jean-Marc Lespade a vu rouge face aux suspicions d’atteintes aux droits humains et environnementaux générés par cette compétition. Ce choix l’a emporté sur la relation qu’entretient le maire tarnosien avec le ballon rond. Ancien tricoteur de gonfle sous les couleurs du club de la cité des forges de l’Adour, il reste un fidèle supporteur des Girondins de Bordeaux, même relégué en deuxième division, et de football en général. Un fan sans zone, en quelque sorte.

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