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Le nouveau manager de l’ASM a évoqué son limogeage de l’UBB, le premier de sa carrière d’entraîneur.
Invité des Grandes Gueules du Sport sur RMC ce dimanche, Christophe Urios, qui prendra lundi ses fonctions de manager de l’ASM Clermont Auvergne, est revenu sur son départ de l’Union Bordeaux-Bègles. «Je l’ai forcément vécu comme un échec. Quand on te confie une mission et que tu ne vas pas au bout, il y a une part de responsabilité, a-t-il confié. Je l’ai vécu comme un échec même si l’échec permet de progresser, rebondir et évoluer. Ce n’est pas un échec au sens négatif du terme.»
Et le successeur de Jono Gibbes d’ajouter : «Jusqu’à présent, le rugby était encore protégé. Évidemment, il y avait des entraîneurs qui se faisaient débarquer mais ce n’était pas monnaie courante. C’est une évolution de notre métier qu’il faut prendre en compte. C’est un métier passionnant mais tu sais que tu n’as pas toutes les cartes en main et qu’il faut s’adapter souvent et puis parfois tu arrives au clash parce que ce n’est pas possible de continuer car tu n’arrives pas à garder ni le lien, ni l’énergie.»
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Le nouvel entraîneur principal de l’ASM était officiellement présenté à la presse ce jeudi. Verbatim.
L’international anglais (14 sélections) a prolongé son contrat avec le club béarnais.
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Top 14 : Christophe Urios a vécu son éviction de Bordeaux-Bègles «comme un échec»
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