Doucement mais sûrement, des couples commencent à se dessiner ce lundi soir dans cette 17e saison de « L’amour est dans le pré » sur M 6. D’abord chez Laurence et Jean, l’éleveur de vaches star de cette nouvelle édition. Après s’être fait remarquer avec un baiser langoureux lors d’une après-midi de danse collée serrée à la guinguette, les choses vont bon train avec sa nouvelle conquête, depuis que la tempétueuse Nathalie s’est éclipsée.
La voix off de Karine Le Marchand s’amuse en commentant des images des deux amoureux rentrant chacun dans leur chambre respective en fin de soirée. « Nul doute qu’après une journée en tête, nos tourtereaux ont fait de beaux rêves chacun de leurs côtés… » distille-t-elle ironiquement. L’image qui suit, au petit matin, ne fait aucun doute. La caméra immortalise le duo sortant de la même pièce sur la pointe des pieds comme des adolescents. Laurence est exténuée, bâillant à s’en faire décrocher la mâchoire… « Cette première nuit était courte mais excellente, cela a mis en route le feu d’artifice que j’avais imaginé. Cela faisait longtemps que cela n’était pas arrivé », glousse le divorcé de 58 ans qui avait même pensé au suicide avant l’émission.
Lors de son portrait, Jean avait assuré qu’il voulait « une femme pour faire l’amour, comme un bouquet final de feu d’artifice, mais pas toute la journée, car (il) ne pourrait pas suivre ». Le voilà bien parti pour reprendre le sport en chambre comme il en rêvait. « On se laisse bercer en redécouvrant l’amour », rajoute-t-il avant de partager avec sa fille Océane un petit-déjeuner complice.
La journée se termine par une balade romantique. Sur fond de slow de Rihanna « Love On The Brain », l’éleveur enchaîne déclaration sur déclaration à une Laurence toute timide. « Tu es tellement belle, tu as tellement de tendresse à donner. Cela se lit sur ton visage. Qu’est-ce que c’est agréable d’être avec toi », martèle-t-il entre deux « smacks ». Avant de conclure : « C’est l’autoroute de l’amour qui nous attend maintenant. »
Cette ambiance de telenovela n’est pas vraiment à l’ordre du jour dans le Jura chez la plus jeune candidate du programme, toutes saisons confondues. Après avoir congédié Romain, « trop love », Noémie, 25 ans, semble filer le parfait amour avec son nounours Gaël, bourru joueur de rugby originaire du Gers.
S’il n’est pas vraiment du genre à s’étendre sur ses sentiments, le bonhomme ténébreux avait réussi à se rapprocher de sa « nonoche » qui n’attendait que cela. « À un moment, il faut se sortir les doigts du cul, avait-elle assuré. Pas forcément un bisou mais une connerie comme cela. » Bingo, un petit câlin et c’était parti. Lors du départ de Gaël, tout semblait donc aller pour le mieux. Sauf qu’au lieu de les retrouver ensemble… C’est devant Karine Le Marchand, en mode conseillère conjugale, qu’ils sont conviés à Paris. Hors caméras, comme le veut la formule consacrée, les événements se sont très mal enchaînés pour eux.
Alors qu’ils avaient été invités chez Guillaume le Limousin, une rupture franche a eu lieu. Gaël n’a pas compris pourquoi, même s’il pense avoir été trop collant. Noémie s’explique à côté de l’animatrice : « La vie à la ferme, c’est très bien. Mais après, il me faisait des gestes de tendresse et cela me crispait. Donc, je me suis dit que cela n’allait pas. »
« Tata Kaka », comme l’appellent les agriculteurs, y va de son analyse. « De prime abord, Gaël, il s’est présenté comme un mec à l’ancienne, le rugbyman, l’archétype du mâle dominant. Donc, tu es tombée amoureuse de cette image. Mais le problème, c’est que, Gaël, c’est du chamallow, il est gentil, il est là, à l’écoute », indique-t-elle. La benjamine acquiesce mais préfère se concentrer sur elle-même. « Nous retrouverons notre célibataire lors du bilan. Célibataire ou pas », prévient Karine Le Marchand pour nous mettre l’eau à la bouche.
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