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Pour sa rentrée médiatique, le sélectionneur du XV de France se trouvait en Dordogne, lundi soir. Il n’a pas échappé aux questions sur le climat qui règne autour de la Fédération française de rugby, dont le président, Bernard Laporte, a été condamné pour corruption en première instance. Il assure néanmoins se concentrer sur le terrain et la réussite de son équipe, avec en point de mire la Coupe du monde 2023.
Fabien Galthié est focalisé sur la réussite de son équipe. Photo Sipa / Thibault CAMUS
Les résultats sur le terrain plus forts que les affaires en coulisses. C’est, en substance, le message délivré mardi soir par le sélectionneur du XV de France, lors de sa rentrée médiatique à Belvès (Dordogne). Questionné sur les éventuelles répercussions de « l’affaire Bernard Laporte » (le président de la Fédération française de rugby a été condamné pour corruption en première instance, ndlr), Fabien Galthié a assuré qu’il restait concentrer sur sa mission.
A savoir la victoire lors de la Coupe du monde 2023 en France (8 septembre-28 octobre), un projet qu’il construit depuis trois ans et qui porte ses fruits. Hors de question, aussi, de lier son destin à celui de son président, qui s’est mis en retrait depuis quelques jours.
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L’incertitude actuelle au sommet de la FFR peut-elle perturber l’équipe de France à moins de huit mois de la Coupe du monde (8 septembre – 28 octobre) ?
Fabien Galthié :« C’est quelque chose qui ne nous appartient pas, mais on suit de près ce qui se passe. Au mois de décembre, pendant la période difficile, pendant la tempête, Bernard Laporte m’a demandé deux choses: quoi qu’il arrive, de continuer de tracer notre route vers la Coupe du monde 2023, et de préparer aussi le mandat d’après jusqu’en 2027. Nous sommes totalement engagés dans cette mission-là. On a besoin de garder cette vision, qu’on a construite depuis trois ans. De garder cette continuité, qui nous a permis de progresser collectivement. On a besoin de continuité, de visibilité, et je crois que pour le moment c’est le cas. Tout est organisé, tout est planifié jusqu’à la Coupe du monde 2023. »
On peut dire que l’image du rugby français, et l’image du XV de France, est positive. Et encore, je trouve que ce n’est pas assez fort. Depuis trois ans, le rugby français brille à travers le monde.
Cette affaire écorne-t-elle l’image du rugby français?
F.G. : « Nous, on fait aujourd’hui ce qu’on peut faire de mieux sur le terrain. Je crois que depuis trois ans, le XV de France, à travers les 30 matches qu’il a disputés, a oeuvré pour l’image du rugby français dans le monde. Quand tu rentres dans un stade de 80.000 places comme le Stade de France, chauffé à blanc. Quand vous faites des audiences de 10 millions de téléspectateurs. Quand la croissance des licenciés dépasse les 10%… Ce sont des signes qui ne trompent pas. On peut dire que l’image du rugby français, et l’image du XV de France, est positive. Et encore, je trouve que ce n’est pas assez fort. Depuis trois ans, le rugby français brille à travers le monde. »
Vous débuterez en février le Tournoi des six nations en tant que tenants du titre. Qu’est-ce que cela change dans la manière de l’aborder?
F.G. : « Quand on a pris l’équipe de France il y a trois ans, on a défini les objectifs. Les objectifs, c’était de gagner, vite, des matches, des compétitions, et redevenir une équipe du top 3 mondial, redevenir une nation majeure du rugby. C’est là où on est aujourd’hui et c’est ce qu’on voulait (la France est au deuxième rang du classement mondial de World Rugby derrière l’Irlande, NDLR). Chaque fois que l’équipe de France descend du bus pour aller dans le stade, c’est comme ça qu’elle veut se présenter. Pour ce Tournoi des six nations, on va essayer de rééditer ce qu’on a réussi à faire l’an dernier. »
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