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L’Anglaise Emily Scarratt, la Néo-Zélandaise Portia Woodman, la Française Laure Sansus, l’Australienne Arabella McKenzie et la Sud-Africaine Zintle Mpupha : ces cinq joueuses devraient assurer le spectacle durant le Mondial en Nouvelle-Zélande (8 octobre – 12 novembre).
Emily Scarratt est l’une des stars de l’équipe d’Angleterre et de cette Coupe du monde. Photo Le DL/Marc GREINER
Laure Sansus. Photo Sipa/Daniel VAQUERO
La demi de mêlée de poche (1,57 m) des Bleues, qui prendra sa retraite à l’issue du Mondial à seulement 28 ans, a accumulé cette saison les récompenses: meilleure joueuse du Tournoi des six nations, meilleure marqueuse de la compétition (six essais), championne de France et meilleure internationale française.
Celle qui a commencé à jouer au rugby à l’âge de 5 ans est souvent comparée à son homologue chez les Bleus, Antoine Dupont, pour ses qualités de dynamiteuse des surfaces.
Pour son président à Toulouse, Didier Lacroix, «Laure a peut-être pendant un temps subi son stress mais aujourd’hui, sa maturité fait qu’elle le gère complètement différemment. Elle se lâche, elle profite de tout et elle le vit comme si c’était ses derniers instants».
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Arabella McKenzie, à peine sortie de l’adolescence, fait ses débuts en 2019 au sein des «Wallaroos», la sélection australienne de rugby à XV, deux ans après avoir aidé son pays à remporter l’or à VII aux Jeux du Commonwealth de la jeunesse.
Après avoir débuté aux NSW Waratahs, la jeune femme de 23 ans, aussi à l’aise à l’ouverture qu’à l’arrière, explose la saison dernière avec la franchise des Matatu, basée à Christchurch, en Nouvelle-Zélande.
Celle qui confie avoir eu comme modèle le All Black Beauden Barrett souhaite que «les petites filles qui admirent les Wallaroos voient en nous des femmes travailleuses et déterminées qui n’abandonnent jamais face à l’adversité».
La trois-quarts centre sud-africaine (15 sél., 86 points) de 28 ans a commencé, adolescente, par faire du cricket à haut niveau, au point d’intégrer la sélection nationale U19, avant de se lancer dans le rugby à VII, au poste de demi d’ouverture.
Pendant ses études à l’université, elle se met au XV mais son choix la fait douter: «après chaque séance d’entraînement, je me disais ”je ne suis pas assez bonne, je ne mérite pas d’être ici”».
Mpupha réussit ensuite à reprendre confiance en elle jusqu’à devenir incontournable des sélections à VII et à XV. Plus impressionnant: en signant en 2021 aux Exeter Chiefs, elle devient la première Sud-Africaine à jouer dans le championnat anglais de première division.
Emily Scarratt est l’une des stars de l’équipe d’Angleterre et de cette Coupe du monde. Photo Le DL/Marc GREINER
La centre (103 sél.) des «Red Roses», élue meilleure joueuse du monde en 2019, arrive en Nouvelle-Zélande à 32 ans au top de sa forme, au sein d’une équipe anglaise en tête du classement mondial et invaincue depuis 25 test-matches.
Championne du monde en 2014, elle dispute cette année son troisième Mondial avec la ferme intention de le remporter, après avoir terminé celui de 2017 à la deuxième place. 
Celle qui aurait pu faire carrière dans le basket (elle mesure 1,81 m et avait été approchée à l’adolescence par une université américaine) était capitaine des septistes anglaises à Rio-2016.
Portia Woodman. Archives MAXPPP/Mark RALSTON
L’ailière néo-zélandaise d’origine maorie de 31 ans est aussi à l’aise au rugby à VII qu’à XV. Elle a remporté à deux reprises le Mondial (2013 et 2018) ainsi que deux médailles olympiques (l’argent à Rio-2016, l’or à Tokyo-2020) en rugby à VII et elle est championne du monde en titre avec les «Black Ferns» en XV.
Petite fille, elle rêvait d’être «Jonah Lomu en femme», après avoir vu son compatriote dominer la planète rugby lors de la Coupe du monde 1995.
Élue meilleure joueuse du monde à VII en 2015, elle obtient la même distinction à XV en 2017 et intègre le Quinze de l’année 2017 du journal Planet Rugby, seule femme parmi quatorze hommes.
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