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Les points communs ne manquent pas entre Vincent Clerc et Ange Capuozzo. Isérois, formés au FC Grenoble, passés par la Pro D2 avant de plonger dans le grand bain à Toulouse. Des parcours similaires qui ne pouvaient que les amener à se croiser un jour, comme ils l’ont expliqué à La Dépêche du midi. « C’était il y a deux ans et demi. Nous nous étions eus au téléphone avant en nous disant qu’à l’occasion il faudrait que l’on se voie. Il était blessé, Grenoble allait jouer à Colomiers et il a profite du déplacement pour venir à la maison boire le café et discuter », raconte l’ancien ailier international devenu consultant pour France Télévisions. « II était en train d’exploser donc l’idée était un peu d’échanger de manière purement informelle sur la façon de se structurer, quelles étaient les bonnes décisions à prendre ou pas de mon point de vue. »
Grenoble qui les avait évidemment rapprochés, même sans le savoir, par les hasards de la vie. « Nous avons quelques connaissances communes également, raconte Ange Capuozzo. Grenoble n’est pas très grand et pour la petite histoire, j’ai mes grands-parents qui habitaient dans l’immeuble en face des siens. II y a un concours de circonstances qui fait que pour moi, c’était enrichissant de pouvoir échanger avec Vincent sur le sport pro que je découvrais et sur la façon d’appréhender ce monde-là », se souvient l’arrière italien qui va croiser les Bleus à Rome, en ouverture du Tournoi des VI nations, ce dimanche (16h).
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Vincent Clerc avait évidemment suivi les premières envolées de la pépite, du côté de Lesdiguières et du Stade des Alpes.« Je suis très attaché à Grenoble, je regarde beaucoup de matches, explique l’ancien ailier à nos confrères. J’ai toujours trouvé que le club avait réussi et s’était reconstruit dans les moments difficiles en faisant éclore des jeunes. Du coup, j’ai naturellement suivi Ange pour plein de raisons. Parce que c’est Grenoble, qu’il est hyper agréable à voir jouer et qu’il faisait briller le club ».
Ange Capuozzo reconnaît lui son admiration pour le joueur et surtout pour l’homme. « A Grenoble, nous avons un très, très grand souvenir de Vincent. Il a fait un an en Pro D2, les gens le savent mais ils sont fiers de dire qu’il a été formé à Grenoble et de la trace qu’il a laissée dans le rugby français, que ce soit avec Toulouse ou l’équipe de France. Des fois, certains mentent un peu en disant qu’il y est resté longtemps (rires). L’autre aspect, encore plus important, c’est que je n’avais eu que des compliments concemant l’homme qu’il était et cela m’était un peu plus facile de lui faire confiance. Je savais que ce serait constructif et sain. C’est une fierté de dire que je peux le côtoyer un petit peu. »
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