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L’équipe de France féminine de football connaîtra ce samedi matin ses adversaires en phase de groupes de la Coupe du monde 2023, dans neuf mois en Océanie.
Eve Périsset, la sélectionneuse Corinne Diacre, Kalidiatou Diani et Clara Mateo connaîtront leurs adversaires ce samedi matin. Photo Sipa/Rui VIEIRA
Les Bleues mettront leur réveil ce samedi à 8h30 pour suivre à distance le tirage au sort du Mondial–2023, à Auckland, et connaître leurs adversaires et leur destination au premier tour, en Australie ou en Nouvelle-Zélande, dans neuf mois.
La sélectionneuse Corinne Diacre représentera la France durant la cérémonie organisée à l’Aotea Centre d’Auckland, parmi les près de 800 invités attendus, de la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern au patron de la Fifa, Gianni Infantino.
Les regards seront cependant tournés vers Carli Lloyd, préposée au tirage au sort. La jeune retraitée de la “Team USA”, double championne du monde en titre, portera-t-elle chance à la patronne des Bleues ?
L’ancienne milieu de terrain rappelle de mauvais souvenirs aux Françaises, éliminées de leur Coupe du monde à domicile en 2019 dès les quarts de finale par les Américaines.
Depuis, les partenaires de Wendie Renard ont échoué à l’Euro-2022 et, plus récemment encore, se sont pris les pieds dans le tapis en octobre avec deux défaites en Allemagne (2-1) et en Suède (3-0). Le Mondial en Océanie, du 20 juillet au 20 août, apparaît comme la prochaine grande échéance, un nouvel espoir de décrocher, enfin, un premier titre international.
La France ne devrait pas trop avoir à trembler au tirage puisque sa cinquième place au classement Fifa lui confère le statut de tête de série, comme les Américaines, les championnes d’Europe anglaises et les deux pays hôtes, entre autres.
Toutefois, cela ne la place pas totalement à l’abri d’une mauvaise pioche.
Il y a en effet du beau monde dans le chapeau 2 avec, notamment, les championnes olympiques canadiennes, les Pays-Bas de Vivianne Miedema ou encore la Norvège d’Ada Hegerberg et Caroline Graham Hansen.
Les tricolores pourraient s’épargner quelques sueurs froides en évitant également le Danemark de Pernille Harder, sorte d’épouvantail du chapeau 3, ou encore le Nigeria dans le chapeau 4, une des meilleures équipes d’Afrique, dominées 1-0 seulement au premier tour du Mondial-2019.
Selon le règlement, chacun des huit groupes de quatre équipes doit compter un représentant maximum par confédération (asiatique, africaine, sud-américaine, etc.), à l’exception de l’UEFA qui peut placer jusqu’à deux équipes par groupe. L’Europe enverra en effet onze ou douze représentants en Océanie l’été prochain.
Le Portugal espère être le douzième représentant du Vieux Continent, mais il lui faudra s’imposer durant le tournoi de barrage interconfédérations programmé en février 2023. Trois places restent encore à attribuer par ce biais-là, toutes versées dans le chapeau 4.
La Nouvelle-Zélande, qualifiée d’office, est d’ores et déjà placée dans le groupe A. Elle disputera son match d’ouverture le 20 juillet dans le mythique Eden Park d’Auckland, terre sacrée du rugby.
L’Australie de Sam Kerr, tête de série du groupe B, fera ses débuts dans la compétition le même jour à Sydney, la ville également retenue pour la finale du 20 août.
Pour les Bleues, l’identité du groupe aura aussi son importance puisqu’il déterminera le pays dans lequel elles joueront la phase de groupe, et où sera installé leur camp de base.
Tomber dans le groupe C, E ou G les enverrait en Nouvelle-Zélande. À l’inverse, un placement dans le groupe D, F et H serait synonyme de départ en Australie.