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Grenoble et Sud Isère
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Le club francilien (8e , 4 pts), surpris à Bayonne le week-end dernier (31-25) et privé de nombreux cadres sur blessures (Gaël Fickou, Henry Chavancy), n’a plus le choix s’il veut continuer à figurer parmi les aspirants au titre. Cet échec a pesé dans le vestiaire des Ciel et Blanc mais il ne faut pas pour autant « se foutre la tête au fond du seau », a estimé le Francilien Baptiste Chouzenoux. À l’Arena samedi (17h), face au LOU (5e , 5 pts), « qui est dans le même état d’esprit » après sa défaite face à la Rochelle (23-21), « on va voir qui a le plus de caractère », a lancé le troisième ligne.
Deux défaites lors des deux premières journées (face à Toulouse et à Montpellier), un seul point engrangé : pour une équipe qui avait atteint les demi-finales la saison dernière, cela fait franchement désordre. Face à Castres (6e , 4 pts), finaliste l’an dernier, et quoi qu’en dise leur coach Christophe Urios – « ce n’est pas un match à pression ; je n’ai pas de pression ; moi, la pression, je la bois » –, les Girondins jouent gros à Chaban-Delmas, d’autant que les Tarnais ne comptent pas faire de la figuration. « On va à Bordeaux pour faire un gros match car on sait qu’ils ont besoin de points », prévient leur talonneur Gaëtan Barlot.
Surprenant troisième au classement avec six points, le club corrézien, qui avait terminé la saison dernière à la 12e place, s’attaque à une montagne samedi (17h) avec la réception du champion en titre, Montpellier (4e , 5 pts), privé sur blessure de son deuxième ligne Bastien Chalureau mais qui peut compter sur Paul Willemse, revenu en grande forme après quatre mois d’indisponibilité.
Leader du classement (9 pts) après sa confortable victoire (28-8) dimanche dernier sur Toulon, Toulouse, qui devrait faire tourner son effectif, se déplace à Pau (12e , 4 pts), défait à Clermont (33-24) lors de la 2e journée. Mais attention, la Section vendra chèrement sa peau, d’autant plus que le stade du Hameau sera à guichets fermés.
Le rendez-vous entre les deux clubs, en clôture dimanche (21h05) au stade Mayol, a des allures de retrouvailles entre « ex ». Entre deux clubs du championnat dont l’histoire, la ferveur du public et l’ancrage local se valent, certes, mais qui jouent plutôt les seconds rôles depuis quelques saisons. Retrouvailles également entre Franck Azéma, arrivé sur la Rade à l’automne dernier en provenance de Clermont où il a passé plus de dix ans, et l’ASM, qui lui réclame depuis devant les prud’hommes 800 000 euros au titre du « préjudice subi ».
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