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ENTRETIEN EXCLUSIF – Le demie d’ouverture des Bleues, troisièmes de la dernière Coupe du monde, évoque, pour Le Figaro, ses ambitions et la place du rugby féminin en France.
Sitôt de retour de la Coupe du monde en Nouvelle-Zélande, la Bretonne (26 ans, 26 sélections), qui évolue au Stade Rennais, est passée par Le Figaro jeudi dernier. Très souriante, la vice-championne olympique à 7 aux JO de Tokyo a retracé l’aventure. La demie d’ouverture a également longuement évoqué la place du rugby féminin en France et dévoilé ses nouveaux défis.
Le Figaro : Cette troisième place, c’est une consolation ou un regret ?
Caroline Drouin : Une consolation je pense. C’est vraiment le minimum qu’on devait atteindre car il y a eu beaucoup de déception et de frustration après la demi-finale perdue d’un rien face à la Nouvelle-Zélande (25-24). Donc, oui, cette troisième place a ce goût-là, mais si elle n’effacera pas jamais la déception. Mais on s’est dit qu’on avait de la force de caractère et qu’on se devait de bien finir la compétition. De ramener au moins cette médaille de bronze à la maison….
Votre pénalité décisive manquée dans les dernières secondes vous hante-t-elle…
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Pyrrhon
le
Et c’est même dans la mêlée qu’on trouve le plus de féminisme…
FFL Federation Francaise des Losers
le
C’est le jour où il y aura beaucoup de femmes qui regarderont du rugby féminin que ça aura vraiment changé. D’ici la…
Segolene69
le
Article fallacieux pour la majorité des joueuses. Il suffit de regarder la TV pour s’en rendre compte.
Caroline Drouin : «On renvoie une image de femmes qui pratiquent le rugby en restant coquettes»
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